Début d’une lutte politique pacifique
Plusieurs chefs de partis politiques et des personnalités nationales se sont relayés pour prononcer leurs discours. « L’Algérie aujourd’hui a besoin d’un nouveau novembre pour le changement pacifique. La révolution a été couronnée de succès après l’union entre l’élite et le peuple. Et ces initiatives (politiques) s’adressent au peuple pour qu’il soit conscient du danger qui le guette en l’absence d’un changement », a lancé Abderrezak Mokri, président du Mouvement pour la société et la paix (MSP). « A travers nos rencontres et rassemblements, nous annonçons le début d’une lutte politique pacifique parce qu’il s’agit d’une affaire entre Algériens », a-t-il ajouté.
Pourquoi un prix des droits de l’Homme pour Bouteflika ?
Abdelkader Merbah du Rassemblement patriotique républicain (RPR) a appelé à demander des comptes au président Boutelika. Il a évoqué la nécessité de constituer une commission nationale de médecins pour étudier les dossiers des candidats. Il est revenu par la suite sur le prix des droits de l’Homme décerné par le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’Homme (CNCPPDH) au président de la République. « Qu’est ce qu’il a fait pour avoir ce prix ? Parce que la corruption a pris de l’ampleur et qu’il n’a pas pu lui mettre fin ? », a lâché M. Merbah.
Toujours pas de candidat de consensus
Le groupe des partis politiques de l’opposition et des personnalités nationales ne se sont toujours pas mis d’accord sur un candidat de consensus. Chose qu’a regrettée la responsable du Parti de l'équité et de la proclamation (PEP), Naima Salhi, avant la lecture de la déclaration commune.
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