Samedi 04 avril 2015
Le dérèglement climatique, la mise en danger de la bio diversité, la
pollution des ressources... Sont autant de problèmes planétaires.
Chaque pays, y compris le nôtre, l'Algérie, a sa propre responsabilité
dans le domaine de la protection de l'environnement.
Aussi, en
Algérie, la politique du gouvernement impulsée par son Premier
ministre, Monsieur Abdelmalek Sellal et par Madame Dalila Boudjemâa,
ministre de l'Aménagement du territoire et de l'environnement, a permis
de réaliser des avancées significatives en termes de protection de
l'environnement, en intégrant les principes du développement durable
dans ses politiques et ses programmes nationaux. Elle s'est par ailleurs
ratifiée à la plupart des conventions internationales relatives à
l'environnement.
En outre, la protection de son écosystème, des
ressources en eau, des sols, des forêts, et en général, l'amélioration
du cadre de vie ont toujours fait partis des priorités du gouvernement.
Nous
souhaitons ainsi faire de l'environnement, une réalité concrète,
quotidienne et non une posture politicienne. Aussi, seules des
politiques de longues durées mêlant action et réflexion seront
susceptibles d'apporter des solutions pérennes. C'est le choix de
l'Algérie.
Comment aller plus loin et mieux?
L'exemple le
plus récent, outre l'application de nouvelles règles en vue de réduire
la consommation de sacs plastiques, c'est la création d'une centaine de
centres d'enfouissement techniques sur le territoire national en
substitution aux décharges sauvages.
À l'avenir, il s'agira pour
l'Algérie de se doter d'un parc d'usines de traitement de déchets avec
un système de tri sélectif, de valorisation et de recyclage des déchets.
Il faut garder à l'esprit que les déchets peuvent représenter une
matière première pour de nombreuses activités industrielles et
constituent, de ce fait, une richesse et une source de revenus à
exploiter. Sans compter que ces gisements sont propices et favorables à
la création de centaines de milliers d'emplois locaux de proximité, non
délocalisables.
C'est pourquoi, Il faut poursuivre cet effort en
mettant en place des modes de production et de consommation économes en
déchets et en énergie, grâce à la promotion de circuits courts et
notamment avec une relocalisation en faveur de l'économie avec le "Made
In Algeria", pourvoyeur également de nombreux emplois.
Un dernier exemple de l'action du gouvernement, est celui du dossier épineux du
gaz de schiste.
Dans le cadre d'une expérimentation encadrée, l'option a été prise de
trouver des alternatives propres à la technique de la fracturation
hydraulique.
N'en déplaise aux personnes versatiles, l'image de
l'Algérie en matière de défense de l'environnement est positive. J'en
veux pour preuve, deux événements marquants.
Récemment, l'ancien
gouverneur de Californie Arnold Schwarzenegger a effectué une visite en
Algérie avec son ONG de défense de l'environnement, R20. Son objectif,
était d'obtenir l'adhésion de la cité Oranaise à son ONG de défense de
l'environnement R20 et d'en faire la tête de pont de son ONG sur tout le
Maghreb et l'Afrique subsaharienne. Si à cela on ajoute, le rapport
global 2012 de Greenpeace, organisation mondiale pour la protection de
l'environnement, l'Algérie est classé parmi les 10 pays les plus beaux
dans le monde, en termes de beauté naturelle et de la diversité de ses
paysages.
En Algérie, comme partout ailleurs sur la planète, la
préservation de l'environnement se vit au quotidien, c'est aujourd'hui,
l'affaire de tous en faveur de tous et des générations futures.
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